L'article
Elle fait avancer la médecine
09.09.16 - Depuis presque un an, Marina est attachée de recherche clinique. Elle participe à la mise en place de nouveaux traitements et fait avancer la science.
Le boulot de Marina est passionnant. Sa mission? Lorsqu’un laboratoire pharmaceutique a mis au point un nouveau traitement médical, elle va voir les médecins pour qu’ils puissent le «tester» sur les patients et elle les forme pour qu’ils puissent le mettre en œuvre correctement. C’est en particulier le cas pour des traitements de lutte contre le cancer, par exemple de nouvelles chimiothérapies.
Et puis, «j’établis aussi le suivi dans le cadre des essais cliniques». Son but est de s’assurer de la bonne marche des traitements sur la durée, mais aussi de «protéger les patients et assurer la robustesse des résultats obtenus». Bref, Marina est une intermédiaire entre les labos et les médecins, un maillon de la chaîne qui développe de nouveaux traitements médicaux que les laboratoires cherchent à mettre sur le marché.
Des compétences exigeantes
Marina doit parfois procéder à des tâches très administratives, comme comparer et vérifier des données. Elle échange beaucoup avec les médecins, auprès de qui elle doit être disponible en cas de question.
(...)Et puis, «j’établis aussi le suivi dans le cadre des essais cliniques». Son but est de s’assurer de la bonne marche des traitements sur la durée, mais aussi de «protéger les patients et assurer la robustesse des résultats obtenus». Bref, Marina est une intermédiaire entre les labos et les médecins, un maillon de la chaîne qui développe de nouveaux traitements médicaux que les laboratoires cherchent à mettre sur le marché.
Des compétences exigeantes
Marina doit parfois procéder à des tâches très administratives, comme comparer et vérifier des données. Elle échange beaucoup avec les médecins, auprès de qui elle doit être disponible en cas de question.
Réactions
Crédits
Illustration/Photo: © Alliance PresseEn savoir plus
Comment se former?
Pour devenir attachée de recherche clinique, Marina a fait des études de biologie, au niveau Bac+5 en France. «J’ai fait une école d’ingénieur, mais un master en biologie marche aussi.» En Suisse, il faut détenir un diplôme dans le paramédical ou dans la santé, ou encore un bachelor ou un master dans le domaine scientifique ou médical. Une formation d’un an dans certaines universités permet aussi à ceux qui ont un papier «général» de se reconvertir dans cette brancheFacebook
éditeur

Un site
d'Alliance Presse